A paraître un précieux ouvrage retraçant les grands moments de
la vie d’Habib Bourguiba, premier Président de la République tunisienne. Un
essai écrit par l’homme le plus proche du Combattant suprême à savoir Chdly Klibi. Ce
dernier est né à Tunis en 1925. Il est
titulaire d'une licence et d'une agrégation en langue et littérature arabes
obtenues à la Sorbonne, à Paris, en 1947 et 1950. Ecrivain, on lui doit
plusieurs ouvrages en arabe et en français sur des thèmes littéraires et
politiques. Ministre de la Culture et de l'Information sous Bourguiba et
ancien secrétaire général de la Ligue arabe (1980-1990), Chedly Klibi a reçu le
titre de docteur honoris causa et la médaille d'honneur de l'Université de
Tunis.
Chadly Klibi présésente son livre comme suit : :«Ce livre n’est
pas une étude historique, mais un essai, écrit avec toute la subjectivité d’un
homme qui a eu de grands sentiments à l’endroit de Habib Bourguiba. De plus, ce
livre qui est un essai mémorial, ne se rapporte qu’à des épisodes dont j’ai été
témoin.
«L’ambition de cet
écrit est d’offrir un ensemble d’images, de souvenirs mais aussi
d’interprétations qui éclairent, d’une certaine façon, le cheminement d’un
leader de premier plan, dans son pays, mais aussi sur la scène régionale. Cet
essai est aussi, chemin faisant, une tentative d’exégèse de la personnalité de
Bourguiba, à travers certaines de ses grandes actions. Au surplus, cet essai ne
concerne que la période où Bourguiba était le véritable acteur de son pouvoir.
Après 1969 ce pouvoir sera exercé, en son nom par des premiers ministres.
«Ce livre se veut, en fin de compte une tentative -peut être téméraire – pour pénétrer les ressorts de ces ambitions, assumées avec détermination et panache par cet homme qui demeurait hors du commun, tant que le lui permettaient sa santé physique et son équilibre psychique»
«Ce livre se veut, en fin de compte une tentative -peut être téméraire – pour pénétrer les ressorts de ces ambitions, assumées avec détermination et panache par cet homme qui demeurait hors du commun, tant que le lui permettaient sa santé physique et son équilibre psychique»
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