Le ministre turc des
affaires étrangères dont la politique “zéro problème avec les voisins” est un
cas d’école en matière d’échec diplomatique, s’est permis de déclarer que
la Turquie et sa politique étrangère ont “mis Israël à genoux” et “isolé de
l’Etat sioniste à la fois régionalement et internationalement.” On pourrait
presque y croire, sauf que les récents développements à l’ONU et les révoltes
arabes t la déstructuration de Hamas (tous les cadres deHamas politiques et
militaires séjournant en Syrie ont été éparpillés à travers le Monde arabe) tendent à prouver le contraire.
La déclaration de
Davutoglu a été faite devant le Parlement turc. Elle était destiné à l’opposition
qui affirme que “la politique étrangère de la Turquie était dépendante des pays
occidentaux et s’alignent sur la position de ces derniers. Davutoglu a insisté
sur le fait que, selon lui, “la politique étrangère de la Turquie est
indépendante, surtout en ce qui concerne les récentes révolutions noté parmi
les alliés arabes et d’Afrique du Nord.” Tellement indépendante qu’une crise à
éclaté quand Obama à confié aux russes le destin des libyens et non aux turcs
comme il l’avait d’abord promis.
La Turquie “n’a jamais
gardé le silence face à l’oppression”, a t-il dit. “C’est de notre politique
dans la région qui a amené Israël à genoux devant nous… Nous avons toujours
pris parti pour les gens qui demandent la démocratie, non pas avec des régimes
autoritaires et oppressifs.” Davutoglu a par ailleurs eu le toupet de souligner
que son pays a “zéro problème” avec ses voisins – malgré les critiques de
l’opposition du caractère irréaliste de la déclaration; surtout compte tenu des
récentes tensions Ankara avec la Syrie.
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