A la question de "Nawaat" qui se résume comme suit ….il n’y a pas d’enseignement sans politique éducative. Et si le niveau en Tunisie est arrivé à un tel point en comparaison avec le passé, cela veut dire que derrière cette réalité il y a une politique, ce qui voudrait dire que cet état de fait est voulu ou non ?
Moncef
Ben Salem répod sans détour ce qui suit : En effet, l’intervention politique est
claire et évidente, particulièrement en ce qui concerne les matières
littéraires. Il existe un texte d’Ali Douagi, qui enseigne en cinquième année
primaire et en huitième année préparatoire et en troisième année secondaire.
Pourquoi ce texte pour trois niveaux ?En fait, la religion y est tournée en dérision. Ce texte se moque de celui qui enseigne le Coran et touche de la part de ses élèves une contribution financière. Qui est ce Ali Douagi ? Il fait partie du groupe de « Taht Essour » qui se saoulent, égorgent des chats pour les manger et ramassent les mégots et disent « le malheur des uns fait le bonheur des autres ». Ils donnaient de noms aux petits et aux grands mégots. Ali Douagi a reçu la décoration de la réalisation culturelle à l’ère du 7 novembre au plus haut niveau du pouvoir.Honte à la Tunisie qui décore les clochards et les idiots et ignore les scientifiques. Moi, je n’ai bénéficié d’aucun honneur à côté de ce Ali Douagi !!
NRLD : Comment un professeur d’université peut être
aussi dédaigneux à l’égard de notre patrimoine culturel. Comment accepter un
tel inculte prendre en charge l’éducation de nos enfants. Le peuple tunisien et
les associations des parents d’élèves seront comment dégager ce personnage de
son futur poste de ministre.
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